La plupart des modèles du GIEC sont faux, leurs prévisions pour 2100 ne sont pas fiables et se révèlent non scientifiques.
« Les autres modèles [du GIEC] sont déjà faux, et leurs prévisions pour 2100 ne sont pas fiables. Si un ingénieur construisait un avion en affirmant qu’il peut voler 600 milles mais qu’au au bout de 200 milles l'avion s’écrase en panne de carburant, il ne dira pas : " Hé, je ne me suis trompé que d’un facteur 3" . On ne fait ça ni en ingénierie ni dans la vraie science. Un facteur trois est énorme dans un bilan énergétique. C’est pourtant ce qu’on a avec les modèles climatiques". »
- Pr John Christy, directeur du Earth System Science Center, professeur distingué en sciences de l'athmosphère et climatologue de l'Etat d'Alabama