«En 2013, la superficie de la banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l'année, la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA!
Ainsi, soixante-cinq ans après le début des émissions galopantes de CO2, où est la signature tangible de l'effet de serre anthropique? Contrairement aux prévisions des modèles du climat et aux observations antérieures, la température dans la basse stratosphère n'a pas évolué depuis vingt ans.
Cette période de vingt ans correspond à l'envoi dans l'atmosphère de 40 % de tout le CO2 émis depuis le début de l'ère industrielle ! Quel en est l'impact mesuré? Nul. »
- François Gervais, professeur à l’Université François Rabelais. Physicien, spécialistede thermique et d’infrarouges, médaillé du CNRS en thermodynamique et primé par l’Académie des Sciences