« Ce que les historiens ne vont pas manquer de questionner dans les siècles à venir, c'est comment une logique aussi profondément erronée, obscurcie par une propagande rusée et implacable, aura permi à une coalition d'intérêts spéciaux de convaincre à peu près tout le monde que le CO2 anthropique [d'origine humaine ou industrielle] était un gaz dangereux, une toxine menaçant de détruire la planète.
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