(Tiré d'une publication Facebook - lien à la fin)
Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur résumé :
« Nous décrivons ici le cas d’un enfant de 35 jours qui a fait la maladie de Kawasaki 1 jour après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre l’hépatite B. Bien que très rare, cet effet secondaire possible doit être noté et étudié d’une manière plus approfondie.» [8]
Comment se fait-il dès lors que le lien entre vaccinations et le syndrome de Kawasaki n’ait pas fait l’objet d’un examen plus approfondi ?
Un autre article intitulé « Maladie de Kawasaki après vaccination : rapport d’événements indésirables (système de déclaration) 1990-2007. » stipule :« Depuis le 14 octobre 2007, 107 rapports de KD (maladie de Kawasaki) ont été transmis au VAERS : 26 cas ont été considérés classiques, 19 cas classés atypiques, 52 cas possibles, 10 non classifiés. Sur 97 cas, 91% étaient des cas d’enfants. » [9]
Les auteurs ont conclu que leur étude ne voulait pas suggérer un risque élevé de maladie de Kawakasi pour le RotaTeq ou les autres vaccins, ils suggèrent que soit poursuivie la surveillance post-commercialisation pour la maladie de Kawasaki.
Tous ces documents suggèrent que la série habituelle des vaccins puisse éventuellement accroître le risque pour les enfants de faire cette maladie.
L’un des articles parmi les plus mémorables qui fait comprendre que la maladie de Kawasaki peut survenir après les vaccinations a été écrit par Lisa Blakemore-Brown dans une réponse à une étude finlandaise au sujet de la sécurité du vaccin ROR dans le British Medical Journal de 2001. Elle écrivait :
« Si un groupe de personnes s’effondrent après avoir mangé, par exemple de la sole limande dans un restaurant, on trouverait inacceptable et ridicule que les responsables tentent d’étouffer l’affaire en disant que des millions de gens mangent de la sole limande tous les jours et qu’il n’y a pas de problème. De leur côté, les responsables de la Santé et de la sécurité n’hésiteront pas à aller droit au but: ils examineront les personnes malades, le poisson du restaurant et vérifieront les tests de laboratoire.
Des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin (ROR)
Comme des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin et que dans certains cas, on avait affaire à « une nouvelle variante de l’autisme », à la perte des compétences en communication, à des déficiences motrices, à des problèmes intestinaux, n’aurait-on pas pu considérer qu’il appartenait au gouvernement de chercher à obtenir des réponses ?
Cette incidence de l’autisme est indiscutable. Il ne s’agit pas d’un meilleur dépistage de l’autisme. Ce TYPE d’autisme est inhabituel et déroutant pour des professionnels de l’éducation à la santé. Un des cas que j’ai pu observer était une réaction claire et indiscutable au vaccin contre la coqueluche. On a pu observer que l’enfant en question souffrait de la maladie de Kawasaki, son système immunitaire s’étant retourné contre l’enfant. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’existait aucun cas d’autisme dans la famille, mais le bébé souffrait d’allergies avant la vaccination. Ce sont des examens scientifiques comme celui-ci qui pourront finalement nous permettre de mettre en place les mesures qui pourront rassurer le public.
Le refus catégorique de s’occuper des véritables problèmes et de s’occuper des individus qui souhaitent pouvoir choisir nous semble relever d’une politique dangereuse, tout spécialement avant une élection.» [10] J’ai choisi de publier cet extrait parce qu’il peut concrétiser certains conseils très fermes pouvant s’appliquer à des organisations comme l’UNICEF qui offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons.
Des organisations comme l’UNICEF offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons
Comme ce fut le cas pour le Dr Carley, le travail de Madame Blakemore-Brown a été lui aussi discrédité, alors qu’il s’agit de professionnels talentueux et doués qui partagent les graves inquiétudes de centaines d’autres professionnels de la santé et qui font les mêmes déclarations. Nombre d’entre eux ont été les cibles de campagnes de haine avant de voir leur carrière sabotée.
Conclusion
L’OMS et l’UNICEF ne se sont pas gênées d’effectuer des tests et d’offrir gratuitement des vaccins douteux aux populations pauvres et vulnérables des pays en voie de développement. La vie de ces enfants est aussi très précieuse. Ce ne sont pas des rats de laboratoire ni des cobayes que l’on peut utiliser à volonté. Ce sont des enfants comme tous les autres ; Ils ont des frères, des sœurs, une maman, un papa, des oncles, des tantes et des grands-parents qui les aiment beaucoup.
Leurs parents crédules croient la propagande que des groupes comme l’UNICEF met à leur disposition. Ils croient que ces vaccins sont sans danger et qu’ils protégeront leurs précieux bébés. Au lieu de cela, leurs enfants sont en train de mourir après avoir reçu des vaccins.
Ce document a été écrit en 2003.
Réféences:
- https://www.facebook.com/antimythevaccinal/posts/1413770765500848
- https://echelledejacob.blogspot.com/2020/04/deja-26-enfants-morts-loms-suspend-le.html