J'en ai marre et je veux mieux dormir!
(Tiré d'une publication Facebook)
« J’en ai marre et je vais mieux dormir. Ça suffit d’être un témoin silencieux et d’être dans la peur :
Je me suis mis à rigoler en allant voir la page FACEBOOK de M.Legault et que j’ai pu lire "transparence de la page" ou bien le slogan "cette bataille-là, on va la gagner ensemble" !
Quand aujourd’hui je réalise tout ce qui a été accomplit hypocritement dans notre dos « US THE PEOPLE », entre autres, la mise à jour de la charte des droits et libertés ainsi que la loi sur la santé publique au 1er février 2020 et le document sur le traçage des cas de covid, 16 avril 2020 et aussi cette loi 61 hypocrite, ah oui j’oubliais le déploiement des antennes 5G.
Pour les slogans "cette bataille-là, on va la gagner ensemble" et l’autre "ça va bien aller" et bien le peuple québécois n’est pas inclus, bien que le budget ridicule de ces publicités provient sûrement des fonds publics.
Toujours durant le confinement l’Ordre des Pharmaciens du Québec s’est empressé de faire accepter le projet de loi 31 qui permet maintenant aux pharmaciens de prescrire ainsi que d’administrer des vaccins entre autres.
Les patients ne reçoivent pas l'information adéquate sur le contenu des vaccins
Je dois vous avouer que j’ai plus appris sur la vaccination lors de ce confinement que pendant mon cours universitaire... Ce que j’en retient c’est qu’aucun patient ne reçoit l’information nécessaire et requise afin de pouvoir donner un consentement éduqué et éclairé avant de recevoir un vaccin. J’ai appris ce qu’est le Triton-X 100, le MRC-5, le polysorbate-80, le SV-40, le sodium deoxycholate, le Wi-38 qui est une lignée cellulaire humaine diploïde composée de fibroblastes dérivés du tissu pulmonaire d'un fœtus femelle avorté à 3 mois de gestation. Permettez moi de vous dire qu’à la lumière de mes recherches je n’ai aucun désir de recevoir un vaccin tant et aussi longtemps que tout leur model de conception ne soit revu et qu’il y ait des études sur leur sécurité et que le placebo utilisé lors des études sont un normal salin.
« Aucun patient ne reçoit l’information nécessaire et requise afin de pouvoir donner un consentement éduqué et éclairé avant de recevoir un vaccin. [...] Permettez moi de vous dire qu’à la lumière de mes recherches je n’ai aucun désir de recevoir un vaccin tant et aussi longtemps que tout leur model de conception ne soit revu et qu’il y ait des études sur leur sécurité et que le placebo utilisé lors des études sont un normal salin. »
De plus tant que les compagnies pharmaceutiques seront immunisées, au sens de la loi contre toute action qui pourrait être entreprise en justice des suites d’un accident causé par une vaccination.
Suppression du droit à l’hydroxychloroquine, la vrai raison c’est que le QUÉBEC AU COMPLET était soit disant en rupture de stock. Les pharmaciens ont eu l’ordre de demander aux patients qui prenaient ce médicament régulièrement comme pour l’arthrite par exemple, de cesser leur traitement afin de pouvoir envoyer les stocks dans les hôpitaux. Malheureusement [la prescription de]l’HCQ était toujours débutée chez les malades une fois la maladie à un stade trop avancée pour en retirer les effets bénéfiques.
L'hydroxychloroquine mise au ban pour des raisons bureaucratiques
Donc on supprime son utilisation parce que la communauté médicale n’avait pas de données probantes dans l’indication du coronavirus. Par contre en 2005 une étude publiée sur l’efficacité in vitro de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus et le sars-cov. [2]
En 2005 une étude publiée sur l’efficacité in vitro de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus et le sars-cov. [2]
Les mensonges sur l'hydroxychloroquine privent le public de ce traitement efficace
L’HCQ c’est un très vieux médicament, découvert en 1934.Les médias principaux ont induit en erreur la population Québécoise en entier en leur disant que l’HCQ était un médicament toxique avec de nombreux effets secondaires.
Et bien c’est tout faux. Saviez vous que le pharmacien, dans le cadre de la loi-41 lui permettant de poser de nouveaux actes, dont celui de prescrire, et bien, si par exemple vous alliez en voyage vers une destination où il y a la Malaria, le pharmacien peut, selon un algorithme en posant au patient différentes questions, prescrire l’hydroxychloroquine pour cette indication.
En temps de supposé pandémie, ma logique serait d’essayer un médicament connu avec un profil d’innocuité connu et acceptable chez l’humain et et ce même si pour cette indication nous avions que les données rapportées par 5 pays au total, si vous vous référez au premier document que l’INESSS avait publié. Les professionnels de santé des plateaux de télévision avaient la tête de dire qu’il faudrait faire un étude contrôlée avec placebo alors qu’il y a urgence, et au moins, on connait bien le médicament et on sait que des essais in vitro avaient été fait en plus de résultats anecdotiques ou pas.
Tenter de discréditer le plus grand infectiologue au monde pour se justifier
Ils ont tenté, tant bien que mal, de discréditer le Pr Didier Raoult et heureusement qu’il est un libre penseur...
Et c’est là que j’ai compris toute l’ampleur du côté politique de cette pandémie. Si l’OMS approuvait le Pr Raoult du coup, par ricochet elle approuvait les paroles du président des États-Unis d’Amérique M Donald J Trump et donc automatiquement s’incriminer des milliers de décès qu’il y a eu dans le monde.»
- Un pharmacien inquiet
Note: Le pharmacien en question, dont nous tairons le nom pour protéger son identité, aurait perdu son emploi pour avoir divulgué ces informations dont des donnés compromettantes ou embarrassantes pour le gouvernement, son employeur et l'industrie. Cette action de suspendre le poste du professionnel est en infraction avec les doits et lbertés et s'identifie comme une dictature de la pensée. Des démarches sont en cours auprès de certaines instances de justice pour faire respecter son droit de s'exprimer sur des questions de santé et pour lui permettre de réintégrer son emploi. Nous croyons que compte-tenu de son statut, les informations deviennent encore plus pertinentes et ne devraient certainement pas être censurées.
Références:
2) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16115318/