À un discours provaccin unilatéral dans les médias, se présente une certaine réponse d'opposition, des "anticonformistes antivaccins" qui proclament que l'information n'est pas claire et la vérité n'est pas fournie. Qui a raison et qui a tort?
Ces jours-ci dans les médias et suite aux récentes éclosions de rougeole, on reproche aux "anticonformistes antivaccins" et aux enfants non-vaccinés la recrudescence des taux de cette maladie infectieuse dans la région.
Y-a-t-il une part de vérité dans tout ça? D'un autre côté, peut-on réellement avoir confiance dans l'information véhiculée dans les médias concernant la vaccination et les études cliniques sur les médicaments? Les résultats des études cliniques et autres rapports pourraient-ils être faussés en faveur de la vaccination et cela, pour désinformer la population et discréditer les opposants à la vaccination?
Évidemment, si on s'en tenait à la seule version des médias traditionnels, voici à quoi pourraient ressembler le message ainsi véhiculé dans les médias traditionnels:
"Attention si vous n'êtes pas pour la vaccination à 100% vous êtes nécessairement "un(e) vilain(e) antivaccins anticonformiste et irresponsable" qui risque de plonger l'humanité dans une épidémie fatale! C'est à cause de vous si les enfants ont la rougeole ou d'autres maladies!"
Évidemment, c'est une caricature!
La raison du plus fort
Pour justifier cette prise de position absolue et sans nuance, les médias utilisent comme référence la seule étude soi-disant "frauduleuse" par le Dr, Andrew Wakefield, qui associe directement certains cas d'autisme à la vaccination[1]. D'ailleurs, il serait peut-être souhaitable que vous écoutiez la vidéo suivante qui donne la parole au Dr Wakefield, juste pour vous faire votre propre idée!
En contrepartie, une autre médecin reconnue affirme que la crédibilité des médias est fortement entachée:
« La Dre Marcia Angell a travaillé pendant plus de deux décennies comme rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. Elle a été licenciée après avoir critiqué l’industrie pharmaceutique, qui exerce une influence considérable et négative sur a littérature scientifique. »:[2]
« Il n’'est tout simplement plus possible de croire la plupart des recherches cliniques qui sont publiées. »[3]
Tout cela n'est surement pas aussi simple. Les provaccins ne sont pas que des brebis dociles et endoctrinées. Les antivaccins ne sont pas non-plus que des illuminés fanatiques puisque un grand nombre de médecins et de chercheurs ont aussi émis des réserves sur la vaccination systématique. Il y a des vérités et des contre-vérités des deux côtés, tout probablement. Le problème est qu'on essaie de nous faire avaler qu'une seule vérité: celle des provaccins! Pourquoi vouloir à tout prix cacher la vérité sur ces cas documentés, sur certaines inefficacités révélées?
Par exemple, il y a bien eu des centaines de cas d'autisme et de morts subites du nourrisson causés, semble-t-il, par des vaccins. De même, certaines études contredisent vraisemblablement les vertus de protection de certains vaccins contre les maladies virales et bactériologiques, et au contraire, elles semblent indiquer que la vaccination favoriserait plutôt dans certaines circonstances une augmentation du nombre de cas de maladies, même lorsque le taux de vaccination sociale est à son maximum! Il y a là certainement matière à interrogation.
Et la science là- dedans?
Pour y voir plus clair, regardons quelques 25 faits assez marquants et même troublants concernant la vaccination et certaines études rattachées. Ils ne constituent bien évidemment qu'une infime partie de toutes les études effectuées sur la vaccination et les compagnies pharmaceutiques. Ces faits listés ci-dessous ont été répertoriés par Julie Lévesque, dans un article paru sur mondialisation.ca[2]. Même si on est pas spécifiquement pro ou anti, il y a quand même de quoi se poser des questions.
Certaines études sont troublantes voire choquantes. On nous cache peut-être certaines vérités sur les effets secondaires, et en particulier de certains adjuvants, tels que le thimérosal, un agent de conservation qui contient du mercure hautement toxique. Mais alors, pourquoi toute cette désinformation? À qui cela rapporte-t-il?
Mais allons au coeur du sujet sans plus de préambules! Avec ces quelques faits complémentaires à ce qui est diffusé dans les médias officiels, vous pourrez mieux, je pense, vous faire une idée des pour et des contres. Je ne peux condamner ni n'encourager la vaccination systématique à ce stade-ci, mais je considère qu'il est utile de savoir que ces études existent. Au final, pourrez-vous juger par vous-même à qui accorder votre confiance!
25 résultats d'études sur l’industrie pharmaceutique et les vaccins
1- La Chine connait des épidémies de rougeole alors que 99 % des Chinois sont vaccinés
Une étude récente publiée dans la revue PLoS intitulée « Difficultés dans l’élimination de la rougeole et le contrôle de la rubéole et des oreillons : étude transversale d’une première vaccination contre la rougeole et la rubéole et d’une seconde vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole », a mis en lumière l’inefficacité flagrante de deux vaccins contre la rougeole (rougeole-rubéole (RR) ou rougeole-rubéole-oreillons (RRO)). Contrairement à ce qu’ils promettaient, ceux-ci n’ont pas prévenu d’épidémies dans les populations se conformant à la vaccination. (Sayer Ji, Why Is China Having Measles Outbreaks When 99% Are Vaccinated?, GreenMedInfo, 20 septembre 2014)
2- Une étude coréenne démontre que la vaccination obligatoire contre la varicelle fait augmenter les taux de maladie
La vaccination contre la varicelle est obligatoire en Corée du Sud depuis 2005. La loi impose que tous les nourrissons de 12 à 15 mois soient vaccinés. Le projet de vaccination massive a marché. En 2011, le pays a atteint un taux de conformité quasi universelle. Cependant, le nombre de patients atteints de varicelle n’a pas diminué, il a plutôt augmenté même après l’atteinte du taux de vaccination optimal.
Le nombre de patients atteints de la varicelle et signalés aux Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (KCDC) a donc AUGMENTÉ, passant de 22,6 cas pour 100 000 en 2006 à 71,6 cas pour 100 000 en 2011. Cette progression démontre que le programme de vaccination systématique est inefficace et même improductif pour contrôler la propagation de la maladie. (Christina Sarich, With 97% Compliance Chicken Pox Vaccine Still Causes Outbreaks, Natural Society, 8 janvier 2015)
3- Une épidémie de rougeole apparue en 2012 au Québec (Canada) révèle que PLUS DE LA MOITIÉ des cas étaient des adolescents VACCINÉS
Lors d'une enquête sur l'éclosion de la maladie dans une école secondaire d’une ville fortement affectée par le virus de la rougeole, il a été révélé que plus de la moitié des cas étaient des adolescents qui avaient reçu les deux doses recommandées du vaccin durant leur enfance. Autrement dit, les individus correctement vaccinés n'étaient pas mieux protégés que ceux qui ne l'avaient pas été.
Les instances sanitaires et la population en général ont toujours cru que le vaccin contre la rougeole protégeait contre l’infection de la rougeole, lorsque les consignes sont respectés et qu’il est administré en deux doses durant la petite enfance. Le constat de l'étude: Les chercheurs ayant mené l’enquête ont découvert que 52 des 98 adolescents qui ont attrapé la rougeole étaient entièrement vaccinés. Plus de 53% des cas étaient en fait vaccinés et ont attrapé la maladie! Autre fait troublant, les enfants non-vaccinés ont donc été moins affectés par la maladie! (La Presse Canadienne Measles among vaccinated Quebec kids questioned, CBC, 20 octobre 2011)
4- En 1987, une épidémie de rougeole se déclare au Texas chez un groupe d’enfants pourtant totalement immunisés (vaccinés)
En 1987, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) a documenté une épidémie de rougeole dans la ville de Corpus Christi, au Texas, au printemps 1985. Selon le rapport, quatorze étudiants adolescents ont developpé la maladie même s’ils avaient reçu le vaccin RRO. 99% des élèves de l’école – soit presque tous – avait également été vaccinés. Malgré la présence d'anticorps contre la rougeole chez plus de 95% d’entre eux, l'éclosion a eut lieu!. (Ethan A. Huff, Measles Outbreak Documented Among Fully Immunized Group of Children, Natural News, 15 février 2015)
5- Les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) établissent des liens entre les vaccins et le syndrome de mort subite du nourrisson
Un exemple concret de politiques contradictoires entre littérature scientifique et politiques sanitaires de vaccination. Est-ce possible que les preuves fournies par la littérature scientifique et la documentation clinique produite par ces organismes contredisent leurs propres politiques de vaccination?
Dans une étude parue dans le Journal of Pediatrics intitulé « Événements indésirables suivants la vaccination contre l’Haemophilus influenzae de type b dans le Système de rapports sur les événements indésirables suivant la vaccination, 1990-2013 », les chercheurs du CDC et de la Federal Drug Administration (FDA) y ont identifié 749 décès liés à l’administration du vaccin Hib, dont 51 % des cas étaient des morts subites du nourrisson liées à l’administration du vaccin Hib. (Sayer Ji, Centers for Disease Control’s (CDC) Own Data Shows Links Between Vaccines and Sudden Infant Death Syndrome (SIDS), GreenMedInfo 23 janvier 2015)
6- Le Japon a interdit le vaccin RRO en 1993 « après que 1,8 million d’enfants aient reçu deux types de vaccin RRO et qu’un nombre record ait développé une méningite non virale et d’autres effets indésirables »
Le gouvernement japonais a réalisé qu’il y avait un problème avec le RRO peu de temps après son introduction en avril 1989. La vaccination étant devenue obligatoire, les parents qui refusaient devaient payer une petite amende.
Constat: Une analyse des vaccinations au cours d’une période de trois mois a montré qu’un enfant sur 900 éprouvait des problèmes de santé. Ce taux était 2000 fois plus élevé que le taux attendu d’un enfant sur 100 000 à 200 000. (Jenny Hope, Why Japan banned MMR vaccine, Daily Mail)
7- Une étude a conclu que les pays qui exigent plus de vaccination ont tendance à avoir des taux de mortalité infantile plus élevés
Le calendrier de vaccination infantile aux États-Unis nécessite 26 doses de vaccins pour les nourrissons âgés de moins de 1 an. Le pays de l'oncle Sam est ainsi 1e au monde pour le nombre de vaccins administrés, mais cependant, il arrive en 34e position pour le Taux de mortalité infantile [TMI ].
Certains pays ont des taux de mortalité infantile inférieurs à la moitié du taux étasunien : Singapour, la Suède et le Japon sont en dessous de 2,80. Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), « la position relative des États-Unis par rapport aux pays ayant les plus faibles taux de mortalité infantile semble s’aggraver ».
Ces résultats démontrent une relation contre-intuitive : les pays qui demandent davantage de doses de vaccin ont tendance à avoir des taux plus élevés de mortalité infantile. (Neil Z Miller et Gary Goldman S., Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity?, US National Library of Medicine, septembre 2011)
8- Les États-Unis ont établi une procédure judiciaire spéciale (un programme d’indemnisation) conçue pour libérer les fabricants de toute responsabilité, et les protéger des poursuites
Durant des années, les médias dominants étaient réticents à admettre l’existence même de cette cour. Cette procédure du système juridique spécial, conçue pour gérer les effets négatifs en cas de problèmes de santé causés par les vaccins, permet en bout de ligne, de supprimer le plus rapidement possible toutes traces de plaintes et de conséquences lors de poursuites. Il a été admis de plus que le programme était incapable de compenser adéquatement et favorablement les familles de victimes de la vaccination. (Ethan A. Huff, Secretive Vaccine Court Exposed: Designed to Shield Manufacturers from Liability, Natural News 19 novembre 2014)
9- Le Dr William Thompson affirme avoir commis une fraude en exonérant le vaccin RRO dans une étude du Centers for Disease Control (CDC) en 2004. (Jon Rappoport, U.S. Centers for Disease Control Whistleblower: Mercury (Thimerosal) in Vaccines Causes Autism, No More Fake News, 5 septembre 2014)
Pourtant, en 2002, William Thompson était déjà au courant des résultats d’une étude reliant le vaccin RRO à une très forte augmentation du risque de développer l’autisme chez les enfants afro-américains.
Voir l’étude qu’a publiée Brian Hooker ici, ainsi qu’une analyse complète des données du CDC révélant un risque accru d’autisme de 340 % chez les enfants afro-américains suivant l’administration du vaccin RRO. (Mike Adams, Autism Links to Vaccines: Whistleblower Reveals Evidence of Criminal Coverup by the Centers for Disease Control (CDC), Natural News 26 août 2014)
10- Un épidémiologiste du CDC conclut que le thimérosal semble être relié à une augmentation de l’autisme et d’une foule d’autres troubles neurologiques chez les enfants.
Tom Verstraeten, un épidémiologiste du CDC, a analysé une gigantesque base de données de l’agence contenant les dossiers médicaux de 100 000 enfants avant d'arriver à ces conclusions.
Selon lui, un agent de conservation à base de mercure dans les vaccins – le thimérosal – semblait être responsable d’une augmentation spectaculaire de l’autisme et d’une foule d’autres troubles neurologiques chez les enfants. (Robert F. Kennedy Jr, Vaccinations: Deadly Immunity. Government Cover-up of a Mercury / Autism Scandal, Rollingstone.com, le 20 juillet 2005)
11- Suite à ce rapport, le CDC a déclenché une nouvelle étude qui permettrait d'éliminer les allusions aux risques du thimérosal, en ordonnant aux chercheurs de l’Institut de médecine d’« exclure » le lien entre la substance chimique et l’autisme.
Au lieu de considérer les conlusions du chercheur (Verstraeten) et de prendre des mesures immédiates pour alerter le public et se débarrasser de l’approvisionnement en vaccins contenant du thimérosal, les fonctionnaires et les dirigeants auraient plutôt discuté de la meilleure façon de camoufler les données compromettantes.
Le CDC n’a donc pas divulgué les conclusions de Verstraeten, même si leur publication immédiate avait été prévue. Il ont préféré déclarer à d’autres scientifiques que ses données originales avaient été « perdues » et ne pouvaient être répliquées. Par ailleurs, afin de contrecarrer la Loi sur l’accès à l’information (Freedom of Information Act), le CDC a remis sa gigantesque base de données sur les dossiers de vaccination à une société privée, la déclarant de fait interdite d’accès aux chercheurs.
Verstraeten n'est pas blanc comme neige non-plus. Après avoir été engagé par la firme GlaxoSmithKline, Verstraeten a finalement publié son étude en 2003, mais après avoir retravaillé ses données afin de cacher le lien entre le thimérosal et l’autisme. (Ibid.)
12- Le nombre de cas d’autisme estimé a augmenté de 15 % en 2005, suite aux recommandations du CDC et de la FDA d'ajouter trois vaccins supplémentaires contenant du thimérosal à être administrés aux très jeunes enfants
Depuis 1991, lorsque le CDC et la FDA ont recommandé que trois vaccins supplémentaires mélangés avec l’agent de conservation (thimérosal) soit donnés aux très jeunes enfants, le nombre estimé de cas d’autisme a augmenté de 15 %, passant de un enfant sur 2500 à un enfant sur 166. (Ibid.)
Voici le tableau du CDC disponible sur son site Internet :
13- Au lieu de détruire les vaccins contaminés, le CDC et la FDA rechètent les vaccins contaminés des multinationales pour les exporter vers les pays en développement
Les vaccins dangereux ont continué d'être vendus par les compagnies qui fabriquent les vaccins, jusqu'en 2004, année probable où les agences ont racheté les stocks de vaccins.
Le CDC et la FDA ont également permis par la suite aux compagnies pharmaceutiques de continuer à utiliser l’agent de conservation à base de mercure dans certains vaccins administrés aux États-Unis, malgré les risques, y compris dans plusieurs vaccins pédiatriques contre la grippe ainsi que dans des vaccins contre le tétanos que l’on donne régulièrement aux enfants de onze ans. (Ibid.)
14- Bill Frist, le leader de la majorité au Sénat, s’active à exonérer les fabricants de vaccins de toute responsabilité après avoir reçu un pot-de-vin
Bill Frist aurait reçu $873000 en contributions par l’industrie pharmaceutique pour défendre l'industrie et lui permettre de se libérer de toute responsabilité dans quelques 4200 poursuites déposées par des parents d’enfants victimes de la vaccination. (Ibid.)
15- Les vaccins contre la grippe saisonnière contiennent du thimérosal
Dans la monographie du Vaxigrip de Sanofi Pasteur, par exemple, il est clairement indiqué que l’agent de conservation à base de mercure est utilisé dans son format multidose :
« Composants non médicamenteux cliniquement importants : thimérosal*, formaldéhyde, TritonMD X-100, néomycine »
16- Le Dr Scott Reuben, porte-parole de Pfizer, a admis avoir publié des dizaines d'études fausses dans des revues médicales
Le Dr Reuben a accepté une subvention de Pfizer de 75 000 dollars pour étudier Celebrex en 2005 [...] Son étude publiée dans une revue médicale a depuis été citée par des centaines d’autres médecins et chercheurs comme « preuve » que Celebrex aidait à réduire la douleur au cours de la guérison postopératoire [...] Aucun patient n’a jamais été inclus dans l’étude!
Il a également faussé des données dans des études sur les médicaments Bextra Aked et Vioxx. La revue médicale Anesthésia & Analgesia a été obligée de rétracter 10 études « scientifiques » rédigées par Reuben [...] Vingt et une études écrites par le Dr Reuben et publiées dans des revues médicales ont apparemment été fabriquées et doivent également être rétractées. ( Big Pharma chercheur admet semblant dizaines d’études de recherche de Pfizer, Merck (avis) , Mike Adams , Natural News.com 18 février 2010)
17- Le pédiatre Paul Thomas s’oppose à un projet de loi sur la vaccination obligatoire en Oregon et affirme que la question des liens entre les vaccins et l’autisme n’est toujours pas réglée du point de vue scientifique.
Dans son témoignage devant le Comité sénatorial, le Dr Thomas a déclaré qu’il ne donne pas tous les vaccins à chacun de ses patients, et qu’en conséquence, sur plus de 1000 patients âgés de 3 ans, aucun d’entre eux ne souffre d’autisme. Le reste du pays connaît un taux d’environ un enfant sur 50 souffrant du spectre de l’autisme.
« Les études ne sont pas finales [...] Ce n’est pas comme ça que la science fonctionne. La science est un processus. Des études doivent être faites comparant les enfants ayant reçu tous les vaccins, ceux qui ont reçu des vaccins de manière sélective et ceux qui n’ont pas été vaccinés. » (Vaccines Linked to Autism – Preserve Medical Freedom: Dr. Paul Thomas, M.D., Health Impact News, 25 février 2015)
18- Il existerait au moins 97 études montrant des liens entre les vaccins et l’autisme.
19- Les autorités sanitaires « ont convenu que l’utilisation du thimérosal dans les vaccins devrait être réduite ou éliminée par mesure de précaution ».
Le CDC affirme qu’« il n’existe pas de preuve convaincante démontrant que les faibles doses de thimérosal dans les vaccins peuvent être dommageables », mais les autorités sanitaires « ont convenu que l’utilisation du thimérosal dans les vaccins devrait être réduite ou éliminée par mesure de précaution ».
À propos du thimérosal, le site web du CDC indique :
« Depuis 2001, à l’exception de certains vaccins contre l’influenza (grippe), le thimérosal n’est pas utilisé comme agent de conservation dans les vaccins systématiquement recommandés pour les enfants. Le thimérosal, un agent de conservation contenant du mercure, est utilisé dans certains vaccins et autres produits depuis les années 1930. Outre des réactions mineures comme des rougeurs et de l’enflure au point d’injection. Cependant, en juillet 1999, les services de santé publique, l’American Academy of Pediatrics, et les fabricants de vaccins ont convenu que l’utilisation du thimérosal dans les vaccins devrait être réduite ou éliminée par mesure de précaution. »
20- Les essais cliniques favorisent systématiquement les promoteurs
Les essais cliniques financés par l’industrie et publiés dans les revues médicales favorisent systématiquement les promoteurs, ce qui remet évidemment en question toute leur crédibilité et l'impartialité des chercheurs ou des industriels.
Compte tenu de ce contrôle et des conflits d’intérêts qui imprègnent l’industrie, il n’est pas surprenant que les essais cliniques financés par l’industrie et publiés dans des revues médicales favorisent systématiquement les commanditaires, les compagnies pharmaceutiques. En fin de compte, il est très facile de faire en sorte qu'un produit testé soit favorisé et approuvé par les agences. Il suffit de supprimer les études dont les résultats sont négatifs, ou ceux qui sont plus négatifs que positifs. Les résultats positifs sont par ailleurs publiés abondamment à plusieurs reprises dans des formes légèrement différentes. De plus, l’on ne se gêne pas non-plus pour donner un biais positif même aux résultats négatifs.
Par exemple, il a été observé que pendant l’analyse de 74 essais cliniques sur des antidépresseurs, sur 36 études négatives, 33 n’avaient pas été publiées ou l’avaient été de manière à transmetttre un résultat positif. – Marcia Angell, MD ( Dr Gary G. Kohls, Beware the Drug Companies, How they Deceive Us: “Criticizing Big Pharma” Global Research 16 février 2015)
21- Les revues scientifiques contiennent de fausses conclusions dans près de la moitié des articles publiés
« Il y a six ans, John Ioannidis, professeur d’épidémiologie à l’École de médecine de l’Université de Ioannina en Grèce, a révélé que près de la moitié des articles publiés dans des revues scientifiques contenaient de fausses conclusions, en ce sens que des chercheurs indépendants ne pouvaient pas les reproduire. Le problème est particulièrement répandu dans la recherche médicale, où des articles évalués par des pairs dans des revues médicales peuvent être cruciales pour influencer les décisions concernant des dépenses de plusieurs millions, voire parfois de plusieurs milliards de dollars. Il serait surprenant que des conflits d’intérêts ne compromettent pas parfois la neutralité éditoriale, et, dans le cas de la recherche médicale, les sources de biais sont évidentes. (Ibid.)
22- La plupart des revues médicales reçoivent la moitié de leurs revenus ou plus de la publicité des compagnies pharmaceutiques
La plupart des revues médicales reçoivent la moitié de leurs revenus ou plus de la publicité des compagnies pharmaceutiques et des commandes de réimpression, et des dizaines d’autres publications appartiennent à des sociétés comme Wolters Kluwer, un éditeur de revues médicales fournissant également des services de marketing pour l’industrie pharmaceutique. - Helen Epstein, auteure de « Flu Warning: Beware the Drug Companies”(http://aaci-india.org/COI/Flu_web_final.pdf, ibid.)
23- La Federal Drug Administration (FDA) autorise des médicaments qui seraient responsables de plus de 100 000 décès par an, alors qu'elle devrait protéger les citoyens de ces dangers
Sur son propre site web, la Federal Drug Administration (FDA) admet que les médicaments dont elle certifie l’innocuité contribuent à plus de 100 000 décès par an.
De plus, la FDA approuve régulièrement des médicaments alors que ses propres médecins examinateurs s’y objectent. Une évidence de plus qu'il y a conflits d'intérêts. De quoi perdre le peu de confiance qui nous reste en ces agences. (Constitutional Attorney on US Federal Drug Administration (FDA) Corruption, Disinformation and Cover Up of Health Dangers, Activist Post, 8 février 2015)
24- La FDA n’effectue aucun examen médical indépendant
Les tests d'inocuité et d'efficacité sont depuis longtemps founis par les entreprises elles-mêmes, qui ont alors le beau jeu pour présenter les résultats selon leur préférences, selon l'angle qui leur convient! Comment peut-on croire que les tests d'inocuité effectués par les compagnies qui doivent rentabiliser leurs molécules puissent être objectifs?
Il s’agit manifestement d’un système fondé sur les conflits d’intérêts, laissant les consommateurs dans l’ignorance totale quant aux véritables conséquences encourues par la prise de produits de l’industrie pharmaceutique. (Ibid.)
25- En 2012, GlaxoSmithKline (GSK) a plaidé coupable et payé « 3 milliards de dollars pour régler des allégations de fraude et d’omission de données de sécurité »
Selon le Département de la Justice des États-Unis :
Ce règlement est le plus important de l’histoire des États-Unis relativement à une fraude dans les soins de santé et le montant le plus élevé jamais payé par une société pharmaceutique [...]
GSK a accepté de plaider coupable à trois chefs de d’accusations criminelles, dont deux pour avoir introduit dans le commerce interétatique des médicaments mal étiquetés, Paxil et Wellbutrin, et un chef d’accusation pour avoir omis de déclarer des données de sécurité sur le médicament Avandia à la Food and Drug Administration (FDA).
(Selon mon point de vue, il s'agit d'un grâve crime, un délit consciemment exécuté dans le seul but de ne pas induire de diminution des profits et pour maintenir la rentabilité de leurs produits. Pourtant, cette même entreprise, GlaxoSmithKline*, est toujours en activité et continue de vendre des médicaments allègrement comme si de rien n'était. N'est-ce pas ahurissant?
Dans quel autre domaine, une entreprise pourrait-elle survivre à des condamnations "criminelles" aussi grâves et poursuivre ses activités sans embûches?
À mon avis, cette entreprise aurait dû être condamnée à mettre la clé dans ses portes, pour la protection des citoyens et pour donner l'exemple pour quiconque voudrait faire passer ses profits avant la santé publique. On emprisonne bien celui qui menace la sécurité publique, alors pourquoi ce passe-droit pour une entreprise qui a ouvertement attaqué la santé publique pour faire avancer ses intérêts?
Il semble qu'il y ait vraiment deux poids, deux mesures. Les entreprises qui ont leur entrées au sein de certaines instances gouvernementales, comme la FDA et le CDC, visiblement survivent mieux et peuvent s'en permettre plus! )
Conclusions
La vaccination a peut-être sauvé de nombreuses vies face à certaines pathologies, encore que cela ne soit aucunement démontré. Cependant, après les évidences listées ci-dessus et ces quelques faits plutôt compromettants, il est difficile de croire aveuglément à tout ce qu'on nous affirme dans les médias concernant les vaccins, via des ministères ou autres agences. Sommes-nous réellement protégés efficacement contre les abus de toutes sortes par des groupes d'intérêts divergeants? En tout cas, c'est ce que l'on veut que nous croyions.
Il semble bien qu'il y ait conflits d'intérêts multiples dans cette industrie multimilliardaire qui s'enrichit en nous vendant toujours plus de médicaments et en vaccinant tout le monde. Pendant ce temps, la santé des citoyens est, elle, reléguée au second rang des priorités gouvernementales et industrielles.
Chacun est évidemment libre d'adhérer à ce qui est véhiculé dans les médias, mais chacun devrait aussi être libre de faire ses propres enquêtes, de peser les affirmations diffusées à tout vent et de prendre ses propres décisions.
Nous désirons tous comme citoyens que les meilleures options nous soient présentées face à la maladie. Pas que seuls les intérêts des multinationales prédominent! Pour cela, il faudrait plus de transparence et de contrôle dans ce secteur en ébullition!
À la vôtre!
1) https://www.youtube.com/watch?v=Mt1WJO9JV-4
2) http://www.mondialisation.ca/25-faits-sur-lindustrie-pharmaceutique-les-vaccins-et-les-antivaccins/5435937
3) http://www.globalresearch.ca/beware-the-drug-companies-how-the-deceive-us-criticizing-big-pharma/5431517